Quarante tomographes, des scanners très fiables en trois dimensions, sont d’ores et déjà disponibles à Roissy et Orly. Une directive européenne impose leur généralisation pour tous les bagages d’ici à 2018.
Les initiés parlent de «tomographe», les béotiens de «scanner en trois dimensions». Ce tomographe est le système le plus fiable de fouille des bagages. Il équipe l’ensemble des grands aéroports de la planète. Mais là où le passage des bagages au tomographe est systématique aux États-Unis ou en Israël, il ne concerne pour l’instant que les bagages suspects en France tout comme dans les États de l’Union européenne. Quarante exemplaires de cette grosse machine, qui vaut un million d’euros, sont d’ores et déjà disponibles à Roissy et Orly. Une directive européenne leur impose un passage progressif au tomographe pour tous les bagages d’ici à 2018.
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Depuis 2001, tous les bagages qui vont en soute sont contrôlés par le système EDS : Explosive Detection System. Aujourd’hui, il y a encore deux niveaux d’inspection. Les bagages passent d’abord aux rayons X. Il y a 150 équipements à rayons X sur les aéroports parisiens. Puis les colis suspects passent au tomographe, un système beaucoup plus sophistiqué et sans faille.
Pour le contrôle des passagers juste avant d’accéder à la zone d’embarquement, les postes d’inspection filtrage actuels associent un portique détecteur de métaux et un contrôle des bagages à main au détecteur de traces d’explosif ainsi qu’aux rayons X en deux dimensions. Un body-scanner a été testé sur les aéroports parisiens entre février et mai 2010. 8 000 passagers ont ainsi été inspectés par ce portique dont les rayons à ondes millimétriques traversent les vêtements et permettent de voir tout objet dissimulé par un passager. La Direction générale de l’aviation civile (DGAC) estime que l’expérience a été concluante et attend une évolution de la législation européenne pour en faire équiper les aéroports français.